Far West

Publié le par Hélène Naudon

Je regarde passer le chemin qui m'emporte,
Les yeux secs à la fin, mouchoir bleu de chagrin,
Oublier le destin qui me mène au hasard
De l'amer entetant, de l'amer qui reflue.
 
Je n'ai pas su chanter, me taire en ton silence,
Pas su fermer les yeux ; et te voir disparu.
Je n'ai pas su prier les devins d'un notre âge ;
Un philtre d'abandon coule dans le désert.
 
Désir de toi absent pour épauler mes nuits ;
J'aurais voulu sourire, que tu me vois ainsi.
Un siècle se déchire d'amour et de chagrin,
Siècle de jours entiers passés à se presser.

Publié dans Alexandrins

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N
Et l'essence des mots, juste, simples, sans chercher à compliquer le sens...
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A
Et bien ça c'est quelque chose!!!!!<br /> Je voudrais écrire quelques mots très beaux<br /> mais comme je ne sais pas <br /> je reprends mon JP:<br /> Je suis comme je suis<br /> je plais à qui je plais<br /> Qu'est-ce que ça peut vous faire<br /> Ce qui m'est arrivé<br /> Oui j'ai aimé quequ'un<br /> Oui quelqu'un m'a aimée<br /> Comme les enfants qui s'aiment<br /> Simplement savent aimer<br /> Aimer aimer,,,,,,,,
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