Mille et un petits bonheurs (3)
Plaisir de s’oublier dans des draps doucereux, Coton fleuri, blanchi, éclat frais.
On voit toujours sa vie comme à travers un kaléidoscope. Déformée. Belle ou désespérée selon les heures. Et parce qu’il y a les jours de gloire et les jours de désespoir, j’écris, pour ne pas avoir à porter des sentiments trop lourds, qui m’étouffent. Quelques mots, simple échappatoire pour regarder sa vie dans un miroir et trouver le recul nécessaire pour avancer.
Plaisir de s’oublier dans des draps doucereux, Coton fleuri, blanchi, éclat frais.
L'odeur après la pluie, brodée de parchemin, Emanations, flots , limons du temps.
J’aime le ciel acier, rayonnant de clarté ; J’aime le ciel irisé d’argent.
C ’est comme un peu de jade, aux reflets perroquet, E ncore un peu plus vif, un peu plus pétillant, C ’est couleur menthe à l’eau, un moment, le plus beau, I vre de cette absinthe, ivre d’attachement, L ui et toi, au soleil malachite, follement, E t tous...
Quand un écart Quantitatif Quitte l'abri Qui se taisait ; Quand, trop naïfs, Quelques propos Questionnent le Qu'en-dira-t-on ; Quand la bévue Quête un pardon, Quiétude bleue Quasiment nue ; Quelque-chose Quadrille rond, Quadrature aux Quelques arceau...
Déjà l'effraie s'envole au dessus de l'ivraie, Déjà la grue cendrée bat l'aile dans les prés, Déjà le faucon bleu s'enfuit, à la volée, Et la bergeronnette aime à batifoler. Je vous invite aussi, puisque le printemps arrive, à découvrir ou à redécouvrir...
Pour un oui, pour un non Acquiescer, obéir, A la solde du temps. Pour un non, pour un oui, Protester, refuser, L'univers mis en doute.
J'ai trouvé chez Oxygène cette idée originale... Le principe : "Par le biais de ce petit questionnaire, je vous invite à vous transposer... dans le passé, le présent, le futur et le futur post-mortem... d'une manière simple et honnête en complétant les...
Ce n’est qu’un frisson frais qui frémit sur ton front ; Ce n’est qu’une étincelle, au loin, qui luit, pulsion ; Ce n’est qu’un papillon qui poudroie, transparent ; Ce n’est rien qu’un regard qu’on dérobe en riant…
D'abord, merci à tout le monde d'avoir participé... Ensuite ? Bravo à Marie Mandarine et Papa, qui ont brillammment deviné : c'était le grand Alfred que nous cherchions... Alfred de Vigny, dans La mort du Loup. Rappelez-vous, je le citais déjà là ......