La vie privée des choses

Publié le par Hélène Naudon

Je sais un instant je pourrai crier 

Monter 

Au sommet du mont des baladins 

A genoux 

Lèvres de feu lèvres de vent 

J’aurais vécu 

Une table et quatre pieds 

Pour tenir debout 

Je pense à toi encore 

A toi et je voudrais 

Qu’on s’y attarde 

En haut des pyramides 

En mie de pain 

Qui des deux perdra le premier 

Et penser 

A toi qui médite et qui mérite 

Un jour 

Pour broder d’origan tous les rideaux 

Publié dans Simplement poétique

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V
Je ne savais pas. Je ne m'y attendais pas. Tu me l'avais dit, je l'avais oublié, tu me l'as prouvé sans équivoque. J'ai tout lu depuis le début et c'est beau au point de me tranformer. Merci.<br />  <br /> Merci à toi...
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