Déraison
Parce que c’était toi, Parce que l’univers
Parce qu’un mois d’avril N’est rien sans un serment,
Peut inventer l’exil Passe l’heure d’avant,
Sans règles et sans foi… Bleutée, des mois d’hiver.
Parce que le festin Parce que l’homme est dieu,
De mon corps entravé, Brodé de sentiments,
D’un élan carnassier A son corps défendant,
A libéré mes mains Parce que l’homme est feu.
Parce que j’ai vécu, Parce que même un roi
Entre deux insomnies, Ignore d’oublier
Ce scénario de vie Cet ange qui lui plait.
Dansé à cœur perdu. Parce que c’était toi.