La vie privée des choses
Je sais un instant je pourrai crier
Monter
Au sommet du mont des baladins
A genoux
Lèvres de feu lèvres de vent
J’aurais vécu
Une table et quatre pieds
Pour tenir debout
Je pense à toi encore
A toi et je voudrais
Qu’on s’y attarde
En haut des pyramides
En mie de pain
Qui des deux perdra le premier
Et penser
A toi qui médite et qui mérite
Un jour
Pour broder d’origan tous les rideaux